vendredi 30 mai 2008

Go go go go going to Philly !!*

Ci-contre, un plan adapté bien tardivement pour un résultat schématique gracieux. Départ vendredi a 14h30 avec Bolt Bus près de Penn Station, arrivée a 16h30 et balade dans la ville. Comme il parait que visiter la Liberty Bell est effectivement d'un ennui profond, on n'est pas sur de s'y atteler. Toujours est-il que je rejoins Nora la-bas (en visite chez ses parents après la fin des cours), puis elle va me faire tourner dans la ville le temps que je monte les marches de Rocky comme les touristes, puis dîner au Nectar (ça a l'air fou) organisé par ses soins.
Je vous tiens au courant de la suite des que je suis de retour mais grossièrement, va y avoir des cimetières ricains comme dans les films, du mall a gogo pour tous les fans de Robin Scherbatsky et de la balade dans les suburbs, banlieues chères a Tim Burton ! (revoyez Edward aux mains d'argent pour vous en convaincre)
Le samedi matin, départ direction Washington pour rejoindre Betsy qui nous accueille pour le reste du week-end...


*How I Met Your Mother, S01E03

Dédicace aux collègues...


Avec une épopée digne de Hergé engagée dès vendredi aprèm (Philadelphia et Washington), c'est pas gagné ! Et pour vous ?

jeudi 29 mai 2008

Photos shoot, session 22

Ok j'ai été un vilain blogger, je n'ai pas respecté les devoirs conjugaux qui me liait à cette page et j'en suis désolé. Pour me faire pardonner, on va faire dans les photos pour se vider les yeux de la grisaille de la ville, des personnes peu citoyennes qu'on croise dans la rue, et des cacahouètes qui cahouent (les pires !).

Columbia, c'est mon district. Arbres partout, commerces attachants, air étudiant, et le campus... miam. On aperçoit le campus dans quelques épisodes de How I Met Your Mother ("Ted Mosby Architect", et c'est gigantissime. Annexes à foisons, bibliothèque, bâtiments historiques, carré d'herbes partout...


Coney Island, un parc d'attraction ghetto construit au bord de la mer, au Sud de Brooklyn. Sable un peu sale avec des vrais bouts de verre dedans, vrais foireux du dimanche (ceux qui vont à la foire quoi), l'endroit se transforme en Rape City la nuit (Population : You). Grosse ambiance en somme !, et fréquentable malgré tout.



Shoot the Freak, c'est pour les gens cools : tu payes pour tirer au paint-ball sur un gars déguisé dans une fosse. Les parents y emmènent leurs enfants, c'est familial et tu t'inscris à la NRA en sortant !



Le dimanche, un barbecue sur le toit de l'immeuble de Josh, à Brooklyn. Et on admire la skyline, d'autant qu'elle va disparaître avec l'immeuble qui se construit juste en bas.

Comme j'ai été un peu méchant, je vous mets un joli lien avec toutes les photos de ces derniers jours ICI (nouvel album photos sur un nouveau compte parce que j'ai explosé la limite de 1go...)

Et ce week-end ? "Go-go-go-go-going to PHILLY !!!"



vendredi 23 mai 2008

Indiana Jones and the Kingdom of the Crystal Skull


Attention d'ici quelques heures je posterai un avis à chaud du dernier Indiana Jones découvert enfin hier soir : Harrison Ford de retour en forme, Guerre froide et reliques antiques au programme de ce 4ème épisode pour quasiment 2h20 de nostalgie back to back. Alors, c'était mieux avant camarade ?

_______________________________________________




Chronique garantie sans spoiler, sa race

Coupons court aux interrogations essentielles : Oui, tout ce que vous avez pu lire sur cet Indy 4 est plus ou moins vérifié. Le film n’est pas nul et ce n’est pas le chef d’oeuvre attendu. Un juste milieu convient quand on parle d’un film concept revenu des années 80, revenu d’une guerre de sous, de scénaristes, de producteurs, revenu de tout.

Déjà, difficile de croire qu’en 19 ans de development hell, ce soit le meilleur scénario au bout duquel ils soient parvenus. Avec l’âge, Indy a pris un coup de vieux et s’en est naturellement sorti de la tourmente nazie : place à la Guerre Froide, au Maccarthysme et aux nouveaux ennemis héréditaires de l’Amérique. Avec en vrac et pour l’occasion, retour de personnages fondamentaux de la saga dans des saynètes parfois prétextes mais souvent touchantes, esprit bon enfant en pilotage automatique et vrais coups de chauffe parsemés ça et là sous couvert d’une histoire abandonnant toutes bondieuseries (contrairement à l’Arche perdue et à la Dernière Croisade), pour un vrai trip original à la Temple Maudit.

Du coup, les références pullulent et font plaisir, même si on peut douter de l’orientation de l’intrigue par moments ; David Koepp a beau être responsable du scénario, c’est là qu’on mesure notamment l’influence fondamentale qu’a Rencontres du Troisième Type dans la filmographie de Spielberg. En mixant Zone 51 pour la scène d’ouverture et zestes d’Incas par la suite, le film prend des risques dingues à en lâcher son public dès les premières bobines. C’est à se demander comment un tel projet a pu se monter. Réponse facile en fait, ses deux principaux instigateurs, Steven Spielberg et Georges Lucas étant juste les deux plus puissants parmi le tout Hollywood. Reste qu’il faut le voir pour le croire, quitte à rester de marbre face au retour plus qu’impétueux de l’aventurier désormais âgé (et qui se le voit rappeler à de maintes fois dans le film).

Crédibilité, il y a. Tout le monde assure. Harrison Ford est impeccable. Shia LaBeouf, que tout le monde haït, est mortel. Et tout le monde avec. Simple non ? Pour couronner le tout, le film est ponctué de séquences de bravoures réjouissantes dont on peut juste noter le manque d’authenticité comparé à ce qu’on a déjà vécu aux côtés d’Indy. Le problème des effets spéciaux réalisables aujourd’hui, c’est qu’ils donnent l’impression aux réalisateurs de pouvoir faire n’importe quoi (en oblitèrant notamment toute menace). Du coup, ils décrédibilisent parfois l’action, en regard surtout des divertissements old school que représente la première trilogie : difficile de croire au foutoir ambiant quand bien même c’est réalisé avec classe. Guettez la course-poursuite à trois véhicules dans la jungle, symptomatique de cet état d’esprit. Originalité prégnante, fun impératif, lisibilité de l’action EXEMPLAIRE, réalisation impeccable, mais débordements inévitables et grosses lacunes en terme de crédibilité immédiate… qui redémarre directement sur une crise monumentale à bases d’insectes. En y repensant, c’est tellement bon qu’on pardonne tout (même si on sait parfaitement que c'est trop pour être digéré correctement).

Spielberg, sans surprises et passé une scène d’exposition un peu lourdingue, manie sa caméra avec sa maestria habituelle et nous gratifie de plans iconiques à la pelle (dont 2 plans complètement fous à trépigner de bonheur qui démarrent et terminent l’aventure), en plus de jouer avec l’attente du spectateur et de ne nous révéler Indy qu’au bout de quelques plans : après 19 ans d’attente, on pouvait bien patienter encore un peu…

En revoyant avec nostalgie les aventures passées où Indy croisait des personnages de l’Histoire (dont Hitler dans l’avant-dernier opus), on conçoit la démarche de Spielberg de faire de Indy un témoin de l’Histoire, documentant sur le vif et recherchant avec espoir les dernières traces vierges du passage de l’homme qui, ironiquement, seront irrémédiablement souillées après le passage de l’archéologue. Là où l’homme abandonne toute humanité au profit des constantes habituelles (pouvoir, argent, rayez la mention inutile), où les amitiés ne survivent pas.


Il y a trois ans, je terminais ma critique de La Guerre des Mondes en affirmant qu’on n’avait pas vu meilleur film de science-fiction depuis des années. Même constat ici : C’était quand, le dernier film d’aventure potable ? Le dernier film en appelant à une telle mythologie, reprise en cœur collectivement ? Rien que pour capter un semblant de l’impact que Spielberg et Lucas ont eu sur l’histoire du cinéma contemporaine, Indy 4 est à aller voir toutes affaires cessantes.

7/10

mercredi 21 mai 2008

Arrivée :: Prom Night baby

Désolé les gras, c'est vrai que ça a été un peu la relâche ces derniers temps sur le blog, mais si certains parmi vous ont renoncé à toute vie privée en s'inscrivant sur Facebook, ça n'aura pas été en vain puisque j'y ai uploadé une galerie photo du "bal de promo".

Arrivé jeudi après-midi à NYC, c'était pas grave la fraicheur dans ma tête. Mais on est venu me chercher à l'aéroport et nous avons enchainé par un retour express à l'appartement de Harlem pour y découvrir qu'un bout du plafond s'était barré comme par magie... Bref, le temps de prendre les vêtements adéquates pour la "prom night", ça a été retour à Columbia pour se préparer dans le jet lag le plus total. Par bal de promo, n'entendez pas comme moi avant ce qu'on voit tous les samedis soirs dans Smallville puisque les moeurs ont évolué depuis (même dans le Tennessee, j'en suis sûr). D'ailleurs, ça s'appelle plutôt "Graduation party", fête correspondant à la fin des études. On s'est retrouvé dans une sorte de suite pour réceptions classes, au niveau de la 23ème rue près du Flat Iron Building. Open bar, buffets de nourritures (ah le saumon fumé !), DJ pas très inspiré et tout le monde en costumes et robes de soirées. Pretty good.

Comme toutes les bonnes choses ont une fin, ça s'est vite terminé pour ne pas que la glorieuse jeunesse américaine s'égare trop vite. Pour autant, le lieu de ralliement suivant a été une boîte de nuit pas loin aux décors très mésopotamiens (on va dire). Pas restés longtemps, mais l'ambiance était électrisante.
Retour en taxi dans les rues de Manhattan
+ La classe dans les rues en costard.

J'uploaderai les photos sur Picasa pour un accès plus large ;



mercredi 14 mai 2008

Indy is back !


J'en croise encore, de ma génération, disant du mal de Indiana Jones. Ils ont tort. Et comme un rêve devenu réalité, un quatrième épisode en chantier depuis des années arrive enfin la semaine prochaine. C'est la vérité (elle n'est pas ailleurs contrairement à ici), c'est acquis : le film existe. Attendezs qu'on arrive au 21 mai et que Steven Spielberg nous blogge une vidéo en ligne où il rigole avec son pote barbu Georges Lucas, annonçant qu'il n'existe pas, ce sacré Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal... (plus long, plus geek, plus bis, tu meurs). Imaginez que tout cela ne soit qu'un canular à échelle mondial, monté sur le dos de tous les geeks nés pendant les 40 dernières années, un fantasme alimenté depuis un an (j'étais encore chez Ecranlarge) à coups d'annonces, de photos...
Pour mémoire, La Dernière Croisade date de 1989 (!!)... Ça fait juste 20 ans qu'on parle d'un quatrième épisode et que tous les scénaristes, y compris ceux attitrés de la série, se font jeter par le tandem voulant une histoire parfaite ! Et là, le 21 mai, plein la gueule. La bande-annonce est déjà un concentré de nostalgie judicieusement exploité. J'y serai. Je ferai la queue. Hey Indy, tu nous a manqué.

PS: tous les mots grossiers servant à complaire ma joie ont été remplacé.

mardi 13 mai 2008

Megan Fox topless

C'est pas ma faute si la carrosserie la plus intelligente du film Transformers se trouve être en plus une jeune femme physiquement intelligente (elle a encore l'air d'être dans le domaine public en plus). Nan, je fais juste du racolage vu la fréquentation du blog qui s'écroule à juste titre. Pour les chauvins, je rajoute aussi "Louise Bourgoin enfin nue", histoire d'avoir de la réponse dans les moteurs de recherche des gens qui s'embêtent au boulot.

Tout ça pour vous introduire le doux retour à la vie angevine pour, il est vrai, 10 jours de vacances tombant très sympathiquement en plein pont ultra-long du 8 mai. Plein soleil depuis mon arrivée, quelques amis disponibles et un Soft dominé pendant plusieurs nuits. D'ailleurs, les verres en verre (dingue) ont remplacé les gobelets en plastique.
Sinon les travaux du tramway avancent, enfin, plus du tout depuis qu'ils ont exhumé un genre de relique préhistorique en pleine rue d'Alsace (nerf d'Angers).

Compteurs remis à zéro même si j'ai définitivement gagné, j'ai enfin vu Destination Finale 2, le wifi est une technologie géniale, Shiwut se prend un appart, j'ai toujours pas vu les voisins d'en face (ouf), les cookies de la Mie Câline m'ont quand même un peu manqué, je déchire parfois à Soul Calibur III et ma bibliothèque est définitivement trop cool.

Retour à NYC jeudi... wait for it...



lundi 5 mai 2008

Preview Ciné : THE DARK KNIGHT


Loin de moi l'idée de me faire le messager du comic book movie, mais s'il y a bien une certitude prédominante depuis quelques mois maintenant, c'est que The Dark Knight va faire très très mal lorsqu'il sortira le 18 juillet prochain aux Etats-Unis (et le 13 août en France, AHAHAH).

Le deuxième conséquent trailer de la suite de Batman Begins vient enfin de tomber, nous en apprenant plus sur les différentes constituantes de ce volet : Retour ténébreux du croisé, Joker en roue libre particulièrement inquiétant et prêt à en découdre (déjà annoncé dans l'épilogue de Batman Begins), chassé-croisé amoureux entre Bruce Wayne, Harvey Dent et la jolie Maggie, un commissaire Gordon dépassé par les évènements, et surtout, deux plans ultra excitants annonçant l'arrivée prochaine de Double-Face dont on ne verra pas encore l'incarnation finale. Le score martial de Hans Zimmer et James Newton Howard est aussi présent, les plans sont pleins d'emphase et la pose est sûre, équilibrée, fantasmatique.

Bref, assez tergiversé, The Dark Knight est juste en train de redéfinir le film de "super-héros" communément ignoré si ce n'est décrié par les ahuris, hissant le genre au rang respectable de pure tragédie mythologique. Sans exagérer, d'ici au 13, on se repasse en boucle l'épique piste "Molossus" de la BOF de Batman Begins... Et dieu sait que l'attente va être longue.

BANDE ANNONCE !!


vendredi 2 mai 2008

IRON MAN : Avis à chaud

YO ! On sort tout juste de cet évènement geek et la joie est trop forte pour tout réprimer en nous... Ci-dessous, un avis à chaud et pour ceux qui ont la flemme de lire en ligne vu la taille (ce que je comprends), vous pouvez accéder à une version épurée de l'article en cliquant ICI. Faites un copié/collé pour en profiter.
Bonne lecture et allez au ciné !!



______________________________________________

Il est enfin arrivé, et on se demande encore comment un type comme Jon Favreau, pas vraiment le gars idéal pour ce projet, a pu mener sa barque aussi élégamment. A savoir, adapter avec une certaine réussite les aventures de Tony Stark, magnat financier ayant amassé toute sa richesse sur la vente d’armes, avant d’essayer de contrebalancer sa mauvaise conscience sous l’attirail de Iron Man. Un personnage à priori pas vraiment appréciable mais qui pouvait à l’occasion révéler de bons côtés. De cette histoire, le scénario du film n’oublie pas d’en raconter la traumatisante genèse dans une ouverture un peu douteuse idéologiquement ("bouh les arabes", pour schématiser), laquelle s’avère en fait diablement efficace (et pose les bases d’une possible suite via certains détails). Pour l’heure, tenons-nous en au fait : enlevé en territoire ennemi et forcé de travailler pour le compte de terroristes, Stark réalise la portée de ses actions et tente de se racheter une conduite une fois libéré en travaillant sur un projet secret qui n’aura pas que des conséquences positives. Un parti-pris à priori un peu simpliste mais qui malgré quelques lacunes parvient à se montrer efficace et à proposer un divertissement de haute volée.


Joli premier film consacré à Tête de Fer, Iron Man cède à la nécessité de revenir sur l’apprentissage des débuts et revisite à la façon d’un Batman Begins quelques premiers pas carrément réjouissants (premiers essais, scènes de vols) grâce à la gouaille communicative de Robert Downey Jr, parfait dans le rôle de Tony Stark. Et c’est un vrai bonheur de l’avoir dans ce rôle, la haute teneur en cool de l’acteur rendant la parfaite insouciance du golden boy encore plus intéressante, notamment dans son refus dans un premier temps de rester assimilé à un simple marchand d’armes. Reste encore une parfaite décontraction, des répliques marrantes bien senties et un flegme à toute épreuve (l’acteur partage en plus avec le personnage de Marvel une certaine addiction pour l’alcool – aspect cependant pas effleuré dans le film).


On notera au passage la parfaite symbiose des deux médias, comics et ciné, alors qu’à force d’adaptations diverses et variées, Marvel cherche enfin à harmoniser son univers (on annonce quelques connexions similaires dans le prochain Hulk) ; Il y a quelques années dans les pages de Ultimates, on pouvait discerner sous les traits du personnage de Tony Stark… l’acteur Robert Downey Jr, dessiné ainsi à la demande expresse de Marvel : une façon comme une autre d’inciter l’acteur à se glisser dans l’armure à la faveur d’une prochaine adaptation ciné…
Même traitement pour le personnage de Nick Fury, boss du SHIELD (sorte de police des super-héros), dorénavant d’origine afro-américaine dans Ultimate X-Men sous les crayons d’Adam Kubert et ressemblant à s’y méprendre à Samuel L. Jackson, pape du cool de ces dernières années. (Restez jusqu’à la fin du générique…) (article )


Sachant exciter la ferveur du fan, le script en appelle à différentes versions de l’armure telle qu’on la connaît, par le biais d’étapes décisives dans le volte-face effectué par Stark après son retour d’exil forcé. Et si on peut penser que la version rouge et or, version moderne de Iron Man, arrive un peu tard, lorgnons amoureusement vers DC Comics et la façon dont Batman a été traité : privilégiant le personnage, bien plus sombre et torturé, Nolan faisait intervenir le costume une fois les bases logiques et adéquates posées, avant de jouer du mythe (et des coudes). Ici, moins de bavardages et plus d’humour bien placé contribuent à agréablement meubler l’histoire entre quelques scènes visuellement splendides dès que l’armure et son hôte entrent en jeu. On peut même ajouter qu’en parfaits fans du personnage, le réalisateur et son équipe se sont décarcassés pour crédibiliser les rouages de la machine et notamment la façon dont s’y prend Stark pour « l’enfiler » : en résulte des séquences bien classes qui faisaient déjà monter la pression dans les premiers trailers du film (joie garantie).

D’une durée de 2h05, on se doute que le film aurait pu s’étendre encore un peu, tant il y aurait eu plus à dire, et regrettant un final un peu rapide dans son déroulement et sa conclusion, par ailleurs bien simpliste. Cependant, on ne pourra pas lui reprocher de délaisser ses personnages, plutôt construits comparé à ce qu’on aurait pu attendre d’un tel blockbuster, les scènes d’action restant finalement des moments isolés du film.

Et malgré un scénario un peu trop basique, celui-ci pose avec une réelle efficacité les bases d’une mythologie à venir, entre partenaires de toujours (la secrétaire Pepper Potts, l’ami de toujours Rhodes, une variante du fidèle Jarvis), démonstrations techniques bluffantes (grâce à des scènes de vols impressionnantes), ouvertures réjouissantes pour la suite (Le Mandarin et War Machine) et la certitude d’une chose fondamentale : Robert Downey Jr EST Tony Stark.

Classe.

15/20

jeudi 1 mai 2008

I’m so back baby !

Holy shit ! Le visa touriste ne pouvant être étendu à trois mois, c’est avec résignation que je me suis tourné vers l’aéroport rejoindre mes amis de Air India pour rentrer. Après avoir failli rater l’arrêt pour Newark en navette, après avoir dû refaire mes bagages suite à une première tentative de faire enregistrer mes bagages (2kgs en trop dommage), j’ai finalement pu embarquer dans le Boeing d’occaz de la compagnie (pourquoi l’aile tremble ?). Un départ de nuit est tout aussi impressionnant, ou alors c’est que je prends trop peu l’avion. Mais voir tous ces nerfs de lumières converger vers des points illuminés avant que l’avion ne vire de bord et ne nous penche encore plus vers le sol à mesure que l’on prend de l’altitude est fantastique.

Personne dans l’avion, du rab en plateau repas (hum du riz au curry), une grosse sieste, et d’un coup on est à Paris. Les 15 jours à venir seront faits de début de rapport de stage (j’essaie de me motiver en avance), de retrouvailles, d’happy hour et ptêt un bon coiffeur pour changer…

Si tu veux du bon Wak, sors ton carnet d’adresse, prends rendez-vous et fais la queue ! (dans la limite des stocks disponibles)